Sketchnote
Ce type d'art nous permet de faire de la multimodalité, car il y a combinaison d'au moins deux modes sémiotiques, ce qui nous permet de mieux apprendre et de mieux partager un message. Les modes sémiotiques consistent en des images, des gestes, du son, de l'écriture et d'autres techniques. Le sketchnoting nous permet de mieux organiser les informations importantes à retenir et à garder seulement le principal. Il y a plusieurs choix de structures (linéaire, réseau, sections, colonnes, libres, au hasard), de conteneurs, de flèches, d'icônes, de personnages, d'illustrations et de polices de caractères. De plus, il existe trois types d'outils. Ils peuvent être numériques, traditionnels et hybrides. Le sketchnoting doit être assez précis pour être facilement interprété par le ou les destinataires.
Dans mon premier sketchnote, je ne m'adresse qu'à moi-même, donc il est probable que d'autres personnes ne pourrait pas comprendre certains des symboles que j'ai utilisés, si je me serait adressée à quelqu'un d'autre, ça n'aurait pas été réussi, car des informations n'auraient pas pu être bien comprises.
J'ai destiné mon second sketchnote à un plus large public. En effet, je l'ai fait pour que tout le monde qui le consulte puisse comprendre ce dont je parle. Il relate ma visite au musée d'art contemporain de Saint-Jérôme. Avec ma classe, nous sommes allés visiter l'exposition de Domingo Cisneros. C'est un artiste que je trouve particulier parce qu'il utilise des parties d'animaux morts pour faire des œuvres. Il assemble des os, de la fourrure, de la peau, des os et toute autre partie pouvant être réutilisés des animaux. Pour ce faire, il ne les tue pas, il se promène plutôt en forêt pour se procurer des carcasses d'animaux qu'il s'occupe d'enterrer dans son jardin pour favoriser la décomposition et il recycle les matériaux dont il a besoin pour fabriquer des bêtes mythiques, comme c'est le cas pour l'exposition Par la forêt.